A l'approche des examens...

... je risque d'être pas mal absente.
Je rentre en phase terminale de révisions intensives. Alors je risque de ne pas squatter énormément ces forums dans les semaines, voir le mois à venir.
J'espere que vous le comprendrez et que vous continuerez à le faire vivre. Je compte sur vous.

BISOUS à toutes et tous. Je penserais à vous.

PS: j'essaierais de me tenir au jus de ce qui se passe ici tout de même.
Et pas de bêtises, vous êtes surveillés pendant ce labs de temps, Youny revête les chaussures pointure 47 du Moderato!

47!!!! la vache!!! mdr je suis pas de taille heu de pointure!!! mdr

non mais t'inkiete va pas mourir ce forum!!!

Danika a écrit:

... je risque d'être pas mal absente.
Je rentre en phase terminale de révisions intensives. Alors je risque de ne pas squatter énormément ces forums dans les semaines, voir le mois à venir.
J'espere que vous le comprendrez et que vous continuerez à le faire vivre. Je compte sur vous.

BISOUS à toutes et tous. Je penserais à vous.

PS: j'essaierais de me tenir au jus de ce qui se passe ici tout de même.
Et pas de bêtises, vous êtes surveillés pendant ce labs de temps, Youny revête les chaussures pointure 47 du Moderato!

Bon couraga ma trukette !!! Tu l'auras ce foutu bac!

ET MOI CA FAIT JE SAI SPAS COMBIEN DE TEMP QUE JE SUIS PAS VENU ICI ET J AI PAS EU DE VOS NOUVELLES!!lol

oooooooo ben fallais en prendre!!!

Grosse déprime. Je pensais avoir réussi mon sujet de philosophie, mais une amie qui avait pris connaissance des corrigés, premiere de classe, callée en philo c'est rendu compte que l'on s'était tous planté.


J'ai pris le commentaire de texte, un texte de John Stuart Mill que je copie colle dans la suite de mon message:

Si le cours naturel des choses était parfaitement bon et satisfaisant, toute action serait une ingérence inutile qui, ne pouvant améliorer les choses, ne pourrait que les rendre pires. Ou, si tant est qu'une action puisse être justifiée, ce serait uniquement quand elle obéit directement aux instincts, puisqu'on pourrait éventuellement considérer qu'ils font partie de l'ordre spontané de la nature ; mais tout ce qu'on ferait de façon préméditée et intentionnelle serait une violation de cet ordre parfait. Si l'artificiel ne vaut pas mieux que le naturel, à quoi servent les arts de la vie ? Bêcher, labourer, bâtir, porter des vêtements sont des infractions directes au commandement de suivre la nature.

[...] Tout le monde déclare approuver et admirer nombre de grandes victoires de l'art sur la nature : joindre par des ponts des rives que la nature avait séparées, assécher des marais naturels, creuser des puits, amener à la lumière du jour ce que la nature avait enfoui à des profondeurs immenses dans la terre, détourner sa foudre par des paratonnerres, ses inondations par des digues, son océan par des jetées. Mais louer ces exploits et d'autres similaires, c'est admettre qu'il faut soumettre les voies de la nature et non pas leur obéir ; c'est reconnaître que les puissances de la nature sont souvent en position d'ennemi face à l'homme, qui doit user de force et d'ingéniosité afin de lui arracher pour son propre usage le peu dont il est capable, et c'est avouer que l'homme mérite d'être applaudi quand ce peu qu'il obtient dépasse ce qu'on pouvait espérer de sa faiblesse physique comparée à ces forces gigantesques. Tout éloge de la civilisation, de l'art ou de l'invention revient à critiquer la nature, à admettre qu'elle comporte des imperfections, et que la tâche et le mérite de l'homme sont de chercher en permanence à les corriger ou les atténuer.

John Stuart Mill, La nature



Pour moi l'auteur fait l'éloge de la nature et condamne la technique, le progrès. Apparemment non, il fait l'éloge de la technique!
Je pensais cerner de l'ironie dans ce texte, jamais je n'aurais pensé qu'il était pour la technique, qu'il semble pourtant condamner.
Ce qui me console un peu c'est que tous ceux qui ont pris le commentaire, ont fait un HS. Maigre consolation c'est vrai...

Résultat des courses, coeff 7, et étant une quiche en anglais et italien (coeff 4), je suis à présent certaine que je n'aurais pas mon bac.
En bref, une nouvelle terminale se profile, mais par correspondance cette fois, parce qu'un an de plus à me lever tous les matins pour aller au bahut c'est la dépression assurée.

Voilà, voilà! désolé de vous apporter de mauvaises nouvelles. Continuez à faire vivre ce forum, et à vous y amusez. Ca me réconforte de voir qu'il n'est pas abandonné.

Ah oui! j'oubliais!

Je pense m'être débrouillée en littérature aujourd'hui. Enfin si ca fait comme la philo... Et puis c'est coeff 4, rien du tout pour rattraper mon 0 pointé...
J'ai pris Perceval.

ohhhhhhh
mais t'en fait pas (dsl je sais pas quoi dire) mais perso j'ai déconnecter (mon cerveau a déconnecter) a partir de la 1ere virgule de la 1ere phrase!!!

Je ne pense pas que ça puisse te consoler, mais moi aussi j'aurai pris le texte au second degres...
Il fallait peut etre connaitre l'auteur et ses point de vue pour eviter le HS... Je sais pas!

Combien t'as chppé au bac français?

Pour le reste, tu risque d'avoir de jolies surprises alors ne te decourage pas encore! Remonte en selle sur le champ et ne te laisse pas abattre. S'il le faut, tu as fait une argumentation beton pour demontrer ton point de vue et le correcteur en tiendra surement compte. Ce ne sont pas tous des abrutis contrairement a ce que l'on pense...
Pour l'anglais: Je vais te raconter mon histoire (cest le cas de le dire) j'ai plafonné a 3 de moyenne sur toute mes années d'histoire... depuis le CM2 jusqu'en terminale. il n'y avait aparement aucun espoir, mais le jour du bas, je ne sais pas si c'est l'adrenaline ou quoi, j'ai trouvé des choses à dire et je m'en suis plutot pas mal tirée... Comme quoi, il ne faut pas vendre la peau de l'ours...

Alors courage la miss, on pense tres tres fort à toi.
MIAOU

Oh bah je viens d'enttendre aux infos que les correcteurs se concertaient par rapport aux notes et ils regardent de quelle façn le texte donné a été compris par les eleves.
ça laisse de l'espoir

Ah? didiou, que ça serait bien!
Je n'ai pas regardé les infos, j'ai passé ma soirée à jouer les ermites dans ma chambre et à micher sur mes cours d'arts pla.

T'inquiète pas DAn, en philo si tu argumentes bien ce que tu dis, tu peux gagner des points. LEs textes peuvent s'interpréter de plusieurs façons, le principal c'est que tu argumentes ton point de vue. Après, ça peut arriver d'être complètement à côté de la plaque, c'est sûr. Tu verras bien. Moi j'étais la première de la classe en philo, voir même la première du lycée, et je crois que j'ai dû me payer la plus mauvaise note de la classe (8,5)le jour du bac. En philo, c'est difficile de prévoir si ce que tu as écrit va plaire au correcteur.

L'autre oeuvre était Le Procés de Kafka.
L'oeuvre de Giono, Un Roi sans divertissement, avec Mme Tim et Saucisse , était archi passionnante, je connaissais l'oeuvre par coeur. D'ailleurs un sujet sur Giono devait tomber. Perceval est un sujet de secours, parce que des petits malins ont trouvé intelligent de piquer les sujets. Si je les choppe, je les *squick*!!

Donc beaucoup dans ma classe avait misé sur Giono, tout comme moi. Heureusement que je suis prévoyante et que j'avais taffé Perceval... Mais beaucoup se sont plantés.

Et merci pour tes 7 points. C'est déja ça...
Ca me rattrape deja 28 point sur les 35 que je vais perdre en Philo...

Prochaine épreuves:

Mercredi,
Histoire-Géo de 8h à 12h, je pense que je devrais m'en sortir, je suis en pleine révisions d'ailleurs actuellement.
Et écrit d'arts plastiques l'apres midi, de 14h à 17h30. Ca ne me tracasse pas non plus.

Par contre jeudi et vendredi après midi, Anglais et Italien... dur dur!

Mon oral d'arts pla est le 23 Juin, ca me laisse le temps.
De toute façon pour moi, les epreuves sont finis vendredi à 17h...

(*mode depressive on*) Bah on verra bien, dans l'état actuel des choses, je me dis qu'au pire je retape une année. 5 ans au bahut ca va etre l'enfer, m'enfin au point où j'en suis... (*mode depressive off*)

Je retourne réviser, je fais overdose, alors je m'accorde des pauses.

Alors petit topo de la fin de mes ecrits. J'ai le doigt enflé comme y a pas même apres 3 jours de repos, et maintenant j'ai une vilaine boule d'écriture, je hais le bac.

Donc histoire-géo et arts plastiques impeccable, rien a redire. J'ai d'ailleurs jamais fait une telle analyse en arts... fiere la memere!
Je poste les sujets sur lesquels nous sommes tombés.



Histoire/Géo:

Emancipation des colonnies (Composition)

Europe et guerre froide (Composition)

Pratiques culturelles apres 58 (Etude de documents)
(ce que j'ai choisi, je poste donc le sujet)

Quelles évolutions culturelles en France sous la Ve République ?

Document 1 : L'évolution des effectifs scolaires en France de 1958 à 1999
Document 2 : L'émergence d'une nouvelle culture
Document 3 : Le président de la République et la politique culturelle
Document 4 : Les pratiques culturelles des Français
Document 5 : L'équipe de France de football, 12 juillet 1998


¤ Première partie ¤

Le candidat analysera l'ensemble documentaire en répondant aux questions suivantes :

1. Identifier les différentes formes de culture présentées dans l'ensemble documentaire.
2. Quel rôle joue l'Etat dans le développement culturel (doc. 1, 3 et 4) ?
3. Quelles conditions favorisent l'évolution des pratiques culturelles (doc. 2 et 4) ?
4. Quelles sont les caractéristiques de la "culture jeune" (doc. 4 et 5) ?
5. Peut-on parler d'uniformisation ou de diversification des pratiques culturelles (doc.1 à 5) ?




¤ Deuxième partie ¤

A l'aide des réponses aux questions, des informations extraites des documents et de ses connaissances, le candidat rédigera une réponse organisée au sujet : Quelles évolutions culturelles en France sous la Ve République ?

Document 1 : L'évolution des effectifs scolaires en France de 1958 à 1999





Document 2 : L'émergence d'une nouvelle culture

Le music-hall exsangue renaît sous l'influence des copains ; les tournées se multiplient en province, sillonnée par les deux groupes leaders, le groupe Johnny-Sylvie(1) et le groupe Richard-Françoise(1). Paris-Match consacre chez les "croulants" le triomphe des copains puisqu'il accorde aux amours supposées de Johnny et de Sylvie la place d'honneur réservée aux Soraya et Margaret(2). [...]
La classe d'âge s'est cristallisée sur :

une panoplie commune, qui du reste évolue au fur et à mesure que les "croulants" avides de juvénilité se l'approprient ; ainsi ont été arborés blue-jeans, polos, blousons et vestes de cuir, et actuellement la mode est au tee-shirt imprimé, à la chemise brodée ; [...]
l'accession à des biens de propriété décagénaires(3) : électrophone, guitare de préférence électrique, radio à transistors, collection de 45 tours, photos ;
un langage commun ponctué d'épithètes superlatives comme "terrible", "sensass", langage "copain" où le mot "copain" lui-même est le maître mot, mot de passe ;
ses cérémonies de communion depuis la surprise-partie jusqu'au spectacle de music-hall et peut-être, dans l'avenir, des rassemblements géants sur le modèle de celui de la Nation(4) ;
Ses héros ? Un culte familier d'idoles-copains est né. [...] Mais là où il est le plus ardent, c'est dans l'acte même de la communion, le tour de chant, où le rapport devient frénétique, extatique.
Edgar Morin, sociologue, "Salut les copains", Le Monde, 6 juillet 1963.

(1) : Johnny Hallyday, Sylvie Vartan, Richard Anthony et Françoise Hardy : chanteurs.
(2) : Soraya, Margaret : princesses souvent à la une de l'actualité.
(3) : décagénaires : concernant la tranche d'âge des 10-19 ans.
(4) : le premier grand concert en plein air, place de la Nation, à Paris, auquel 150 000 jeunes assistent en juin 1963.



Document 3 : Le président de la République et la politique culturelle

Nous avons un ministère des Affaires culturelles, et il est normal que je suive son action comme celle des autres. Mais pour moi c'est tout autre chose, l'art n'est pas une catégorie administrative. Il est le cadre de vie, ou devrait l'être. Je laisse de côté volontairement ce qu'il peut exprimer ou signifier pour ne garder que le plaisir qu'il donne. [...]
Quant à parler de ligne politique, il n'y a, croyez-le, aucune arrière-pensée de cet ordre dans mon esprit, au sens où l'on entend couramment le mot "politique". Je ne cherche pas à créer un style "majoritaire" ! Mais c'est vrai, la France se transforme, la modernisation, le développement dans tous les domaines sont éclatants. Pourquoi n'y aurait-il pas un lien avec les arts ? Toutes les grandes époques artistiques sont des époques de prospérité économique et souvent de puissance politique : voyez l'Athènes de Périclès, la Rome des empereurs ou de la Renaissance, la Venise des doges, la Florence des Médicis, sans parler de la France de Saint Louis, de François Ier, de Louis XIV, du XVIIIe siècle, même du Second Empire. Alors pourquoi pas notre siècle ?

Georges Pompidou, "Déclarations sur l'art et l'architecture", Le Monde, 17 octobre 1972.



Document 4 : Les pratiques culturelles des Français




Document 5 : L'équipe de France de football, 12 juillet 1998



L'équipe de France remporte la coupe du monde de football en 1998 au Stade de France devant 80 000 spectateurs et 23 millions de téléspectateurs.

Je vous parlerais de l'art et des langues plus tard, mon frere prend le pc.

Manuee a écrit:

oooooooo ben fallais en prendre!!!

oula ca va?

Danika a écrit:

Je vous parlerais de l'art et des langues plus tard, mon frere prend le pc.

Me voilà. Je suis a vous.

donc je commence par le sujet d'anglais. J'en ai chié, mais finalement je suis plutot contente de moi.


Shortly after the riots, like many other white Detroiters, my parents began looking for a house in the
suburbs. The suburb they had their sights on was the affluent lakefront district of the auto
magnates : Grosse Pointe.
It was much harder than they ever expected. In the Cadillac, scouting the five Grosse Pointe (the Park, the City, the Farms, the Woods, the Shores), my parents saw FOR SALE signs on many lawns. But when they stopped in at the realty offices and filled out applications, they found that the houses suddenly went off the market, or were sold, or doubled in price.
After two months of searching, Milton was down to his last real estate agent, a Miss Jane Marsh of Great Lakes Realty. He had growing suspicions.
"This property is rather eccentric," Miss Marsh is telling Milton one September afternoon as she leads him up the driveway. "It takes a buyer with a little vision." She opens the front door and leads
him inside.
"But it does have quite a pedigree. It was designed by Hudson Clark." She waits for recognition.
"Of the Prairie School(1)".
Milton nods, dubiously(2). He swivels his head, looking over the place. He hadn't much cared for
the picture Miss Marsh had shown him over at the office. Too boxy-looking. Too modern.
"I'm not sure my wife would go for this kind of thing, Miss Marsh."
"I'm afraid we don't have anything more traditional to show at the moment."
She leads him along a spare white hallway and down a small flight of open stairs. And now, as
they step into the sunken living room, Miss Marsh's head begins to swivel, too. Smiling a polite
smile that reveals a rabbity expanse of upper gum(3), she examines Milton's complexion, his hair, his shoes. She glances at his real estate application again.
"Stephanides. What kind of name is that?"
"It's Greek."
"Greek. How interesting."
More upper gum flashes as Miss Marsh makes a notation on her pad. Then she resumes the tour : "Sunken living room. Greenhouse adjoining the dining area. And, as you can see, the house
is well supplied with windows."
"It pretty much is a window, Miss Marsh." Milton moves closer to the glass and examines the
backyard. Meanwhile, a few feet behind, Miss Marsh examines Milton.
"May l ask what business you're in, Mr. Stephanides?"
"The restaurant business."
Another mark of pen on pad. "Can I tell you what churches we have in the area? What
denomination are you?"
"I don't go in for that sort of thing. My wife takes the kids to the Greek church."
"She's a Grecian, too?"
"She's a Detroiter. We're both East Siders."
"And you need space for your two children, is that right?"
"Yes, ma'am. Plus we have my folks living with us, too."
"Oh, I see." And now pink gums disappear as Miss Marsh begins to add it all up. Let's see.
Southern Mediterranean. One point. Not in one of the professions. One point. Religion? Greek church. That's some kind of Catholic, isn't it? So there's another point there. And he has his
parents living with him! Two more points! Which makes - five! Oh, that won't do. That won't do at
all.
Discreetly, Miss Marsh now draws a tiny "5" next to "Stephanides" and circles it. As she does
so, however, she feels something. A kind of regret. The point system isn't her idea, after all. It was in place long before she came to Grosse Pointe.
"Tell me more about this Hudson Clark fella," he now asks.
"Clark? Well, to be honest, he's a minor figure."
"Prairie School, eh?"
"Hudson Clark was no Frank Lloyd Wright, if that's what you mean."
"What are these outbuildings I see here?"
"I wouldn't call them outbuildings, Mr. Stephanides. That's making it a bit grand. One's a
bathhouse. Rather decrepit, I'm afraid. I'm not sure it even works. Behind that is the guest house.
Which also needs a lot of work."
"Bathhouse? That's different. You don't have to show me any more. Decrepit outbuildings or not, I'll take it."
There is a pause. Miss Marsh smiles with her double-decker gums. "That's wonderful, Mr.
Stephanides," she says without enthusiasm. "Of course, it's all contingent on(4) the approval of the
loan."
But now it is Milton's turn to smile. "You don't have to bother with that," my father said, relishing
the moment. "I'll pay cash."
Over the barrier of the Point System, my father managed to get us a house in Grosse Pointe.


adapted from Jeffrey Eugenides, Middlesex, 2002

(1) : Prairie School (l.13): 20th century school of architecture made famous by Frank Lloyd Wright (l.50)
(2) : dubious (l.14) : uncertain
(3) : upper gum (l.20) : pink flesh inside the mouth above the teeth
(4) : contingent on (l.58) : dependent on



I. Vous traiterez les questions dans l'ordre en indiquant clairement leur numéro sur votre copie. lorsque la réponse doit être développée, le nombre de mots ou d'éléments de réponse sera indiqué dans la question.

Read from line 1 to line 9

1.a. In what country and what region does the story take place?

b. In your own words, say where Grosse Pointe is situated and what sort of people live there.

c. What is the name of the narrator's father?

2.a. What do the narrator's parents want to do in Grosse Pointe?

b. In your words, explain why the narrator's father is becoming suspicious (line 9). (20-30 words)

Read from line 10 to line 38

3. Explain what Miss Marsh's job consists in.

4. What is Milton's opinion of the house? Pick out four elements to justify your answer.

5.a. Line 11 : "It takes a buyer with a little vision." what does Miss Marsh mean? (20-30 words)

b. Line 12 : "it was designed by Hudson Clark." What effects does she think that name will have on Milton?

c. What does Milton nod "dubiously" (line14)?

6. Focus on Milton's answers to Miss Marsh's questions.

What exactly do we learn about Milton and his family? (origin, religion, job, household).
(30-40 words)

7.a. Focus on lines 39 to 43. Why is this passage in italics?

b. Lines 42-43 "Oh, that won't do. That won't do at all." Explain what Miss Marsh means.

8.a. In your own words, explain how the "Point System" works. (30-40 words)

b. What does it reveal about the community of Grosse Pointe? (20 words)

9.a. In one sentence say what Miss Marsh's goal has become.

b. What arguments does she use? (20-30 words)

Read the whole text again.

10. Focus on the expressions on Miss Marsh's face (lines 19-20;25;39). How can these expressions be interpreted? (30-40 words)

11.a. From line 47 onwards, what shows that Milton is gaining control of the situation? (30-40 words).

b. Line 60 "But now it is Milton's turn to smile". Explain this sentence. (30-40 words)


II. Translate into French from line 10 ("This property is rather eccentric...") to line 17 ("... to show at the moment.")



III. Expression. Choose one of the following subjects (250 words approximately. Write down the number of words.)

Subject 1 - The Stephanides have moved into the house. A few months later, Milton sends a letter to a friend telling him about their life in Grosse Pointe. Write the letter.

Subject 2 - Can money always buy everything you want?

Je ne trouve pas sur le net, les sujets d'arts platiques et d'italien. Donc vous ne saurez jamais à quoi cela ressemblait.